Le Fil d’Ariane
Centre de documentation spécialisé en santé mentale
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les étagères virtuelles... |
Catégories



Comment pensent les institutions / Mary DOUGLAS
Titre : Comment pensent les institutions Type de document : texte imprimé Auteurs : Mary DOUGLAS Année de publication : 2004 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7071-4242-9 Langues : Français Catégories : Anthropologie
Identité individuelle
InstitutionRésumé : RÉSUMÉ
Un ouvrage classique de la célèbre anthropologue britannique Mary Douglas.
Les institutions pensent-elles ? Et si oui, comment font-elles ? Ont-elles un esprit en propre ? Dans ce livre, Mary Douglas prend à bras-le-corps toutes ces questions pour jeter les bases d'une théorie des institutions. On explique d'ordinaire le raisonnement humain par les propriétés de la pensée individuelle. Mary Douglas se focalise, elle, sur la culture et nous entraîne dans un parcours provocateur et passionné, placé sous le double patronage de la sociologie d'Émile Durkheim et de la philosophie des sciences de Ludwik Fleck. D'où il ressort que nous aurions tort de croire que seule la pensée des peuples primitifs serait modelée par les institutions, tandis que notre modernité verrait advenir une pensée véritablement individuelle. Les questions essentielles, les décisions de vie ou de mort, par exemple, ne peuvent jamais être résolues à un niveau purement individuel. Avec le présent livre, qu'elle considère comme une " introduction après coup " à son célèbre De la souillure, Mary Douglas se place directement au cœur du débat épistémologique central des sciences sociales, grâce à une critique croisée de l'individualisme méthodologique et du holisme. Cet ouvrage est suivi de l'introduction à la traduction anglaise du fameux Essai sur le don de Marcel Mauss et d'un texte sur l'identité du moi, qui ont déjà fait du bruit en France et à l'étranger.Comment pensent les institutions [texte imprimé] / Mary DOUGLAS . - 2004.
ISBN : 978-2-7071-4242-9
Langues : Français
Catégories : Anthropologie
Identité individuelle
InstitutionRésumé : RÉSUMÉ
Un ouvrage classique de la célèbre anthropologue britannique Mary Douglas.
Les institutions pensent-elles ? Et si oui, comment font-elles ? Ont-elles un esprit en propre ? Dans ce livre, Mary Douglas prend à bras-le-corps toutes ces questions pour jeter les bases d'une théorie des institutions. On explique d'ordinaire le raisonnement humain par les propriétés de la pensée individuelle. Mary Douglas se focalise, elle, sur la culture et nous entraîne dans un parcours provocateur et passionné, placé sous le double patronage de la sociologie d'Émile Durkheim et de la philosophie des sciences de Ludwik Fleck. D'où il ressort que nous aurions tort de croire que seule la pensée des peuples primitifs serait modelée par les institutions, tandis que notre modernité verrait advenir une pensée véritablement individuelle. Les questions essentielles, les décisions de vie ou de mort, par exemple, ne peuvent jamais être résolues à un niveau purement individuel. Avec le présent livre, qu'elle considère comme une " introduction après coup " à son célèbre De la souillure, Mary Douglas se place directement au cœur du débat épistémologique central des sciences sociales, grâce à une critique croisée de l'individualisme méthodologique et du holisme. Cet ouvrage est suivi de l'introduction à la traduction anglaise du fameux Essai sur le don de Marcel Mauss et d'un texte sur l'identité du moi, qui ont déjà fait du bruit en France et à l'étranger.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 5847 L-DOUG Livres Le Fil d'Ariane Livre Disponible Introduction à la psychogériatrie / Italo SIMEONE
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1269 L-SIME Livres Le Fil d'Ariane Livre Disponible Les irremplaçables / Cynthia Fleury
Titre : Les irremplaçables Type de document : texte imprimé Auteurs : Cynthia Fleury (1974-....), Auteur Editeur : Gallimard Année de publication : DL 2015, cop. 2015 Importance : 1 vol. (217 p.) Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-014729-8 Prix : 16,90 EUR Note générale : Nous ne sommes pas remplaçables. L’État de droit n’est rien sans l’irremplaçabilité des individus. L’individu, si décrié, s’est souvent vu défini comme le responsable de l’atomisation de la chose publique, comme le contempteur des valeurs et des principes de l’État de droit. Pourtant, la démocratie n’est rien sans le maintien des sujets libres, rien sans l’engagement des individus, sans leur détermination à protéger sa durabilité. Ce n’est pas la normalisation – ni les individus piégés par elle – qui protège la démocratie. La protéger, en avoir déjà le désir et l’exigence, suppose que la notion d’individuation – et non d’individualisme – soit réinvestie par les individus. «Avoir le souci de l’État de droit, comme l’on a le souci de soi», est un enjeu tout aussi philosophique que politique. Dans un monde social où la passion pour le pouvoir prévaut comme s’il était l’autre nom du Réel, le défi d’une consolidation démocratique nous invite à dépasser la religion continuée qu’il demeure.
Après Les pathologies de la démocratie et La fin du courage, Cynthia Fleury poursuit sa réflexion sur l’irremplaçabilité de l’individu dans la régulation démocratique. Au croisement de la psychanalyse et de la philosophie politique, Les irremplaçables est un texte remarquable et plus que jamais nécessaire pour nous aider à penser les dysfonctionnements de la psyché individuelle et collective.
Catégories : Démocratie
Identité individuelle
Individu
PolitiqueRésumé : Présentation de l'éditeur
Cet essai met en lumière le lien entre l'individu, le collectif et la durabilité de la démocratie. L'auteure montre que la normalisation des êtres dans une société uniforme peut être un frein à la construction d'un Etat démocratique et comment, au contraire, la valeur subjective de chacun doit être considérée comme un rempart aux dérives.
Biographie de l'auteur
Cynthia Fleury est philosophe et psychanalyste. Professeur à l'American University of Paris et chercheur au Muséum National d'Histoire Naturelle, elle travaille sur les outils de la régulation démocratique. Elle est membre du Comité consultatif national d'éthique (CCNE). En tant que psychanalyste, elle est marraine d'ICCARRE (protocole d'intermittence du traitement du Sida) et membre de la cellule d'urgence médico-psychologique du SAMU (CUMP-Necker). Elle a récemment publié chez Fayard Les pathologies de la démocratie (2005) et La fin du courage. La reconquête d'une vertu démocratique (2010).
Les irremplaçables [texte imprimé] / Cynthia Fleury (1974-....), Auteur . - [S.l.] : Gallimard, DL 2015, cop. 2015 . - 1 vol. (217 p.) ; 21 cm.
ISBN : 978-2-07-014729-8 : 16,90 EUR
Nous ne sommes pas remplaçables. L’État de droit n’est rien sans l’irremplaçabilité des individus. L’individu, si décrié, s’est souvent vu défini comme le responsable de l’atomisation de la chose publique, comme le contempteur des valeurs et des principes de l’État de droit. Pourtant, la démocratie n’est rien sans le maintien des sujets libres, rien sans l’engagement des individus, sans leur détermination à protéger sa durabilité. Ce n’est pas la normalisation – ni les individus piégés par elle – qui protège la démocratie. La protéger, en avoir déjà le désir et l’exigence, suppose que la notion d’individuation – et non d’individualisme – soit réinvestie par les individus. «Avoir le souci de l’État de droit, comme l’on a le souci de soi», est un enjeu tout aussi philosophique que politique. Dans un monde social où la passion pour le pouvoir prévaut comme s’il était l’autre nom du Réel, le défi d’une consolidation démocratique nous invite à dépasser la religion continuée qu’il demeure.
Après Les pathologies de la démocratie et La fin du courage, Cynthia Fleury poursuit sa réflexion sur l’irremplaçabilité de l’individu dans la régulation démocratique. Au croisement de la psychanalyse et de la philosophie politique, Les irremplaçables est un texte remarquable et plus que jamais nécessaire pour nous aider à penser les dysfonctionnements de la psyché individuelle et collective.
Catégories : Démocratie
Identité individuelle
Individu
PolitiqueRésumé : Présentation de l'éditeur
Cet essai met en lumière le lien entre l'individu, le collectif et la durabilité de la démocratie. L'auteure montre que la normalisation des êtres dans une société uniforme peut être un frein à la construction d'un Etat démocratique et comment, au contraire, la valeur subjective de chacun doit être considérée comme un rempart aux dérives.
Biographie de l'auteur
Cynthia Fleury est philosophe et psychanalyste. Professeur à l'American University of Paris et chercheur au Muséum National d'Histoire Naturelle, elle travaille sur les outils de la régulation démocratique. Elle est membre du Comité consultatif national d'éthique (CCNE). En tant que psychanalyste, elle est marraine d'ICCARRE (protocole d'intermittence du traitement du Sida) et membre de la cellule d'urgence médico-psychologique du SAMU (CUMP-Necker). Elle a récemment publié chez Fayard Les pathologies de la démocratie (2005) et La fin du courage. La reconquête d'une vertu démocratique (2010).
Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 8429 L-FLEU Livres Le Fil d'Ariane Livre Disponible La personne au principe du social : Les leçons de l'adolescence / Jean-Claude QUENTEL
Titre : La personne au principe du social : Les leçons de l'adolescence Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Claude QUENTEL, Auteur Importance : 1 vol. (244 p.) Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-301300-2 Prix : 21 EUR Langues : Français Catégories : Adolescent
Identité individuelle
Institution
SujetIndex. décimale : 155.5 Résumé : Le concept de Personne, tel qu'on l'entend ici, désigne la capacité qui permet à l'homme à la fois de se vivre comme une subjectivité singulière et de participer au social. L'argumentation prend ici appui sur l'expérience de l'adolescent, son fonctionnement étant en effet révélateur des processus que suppose la Personne. Ce qui se joue à cette période de la vie oblige à comprendre que, loin d'être acquise d'emblée, c'est à une époque relativement tardive de son existence, après les années de l'enfance au sens strict, que la Personne émerge en l'homme. Elle se spécifie dès lors clairement par rapport aux autres capacités dont celui-ci peut faire preuve dès la première enfance, à savoir le langage, mais également l'habileté technique et le désir. Processus général, donc anthropologique au plein sens de ce terme, la Personne suppose fondamentalement une abstraction, en l'occurrence une prise de distance radicale par rapport au mode de rapports immédiats dans lequel l'être humain se trouve naturellement pris. Cette abstraction se fait ici absence, à soi-même en même temps qu'à autrui. Pour autant, l'homme n'en demeure aucunement à ce moment d'abstraction qui n'est qu'implicite et il investit contradictoirement son être dans des situations sociales diverses. Le présent ouvrage trouve sa source dans les travaux du linguiste Jean Gagnepain, auquel on doit d'avoir éclairé, le premier, ce processus paradoxal ou "dialectique" constitutif de la Personne. Mais, au-delà de la Personne, c'est toute la dimension pratique de la rationalité humaine que cette perspective d'analyse invite à repenser, de l'emploi du signe au sens de la norme, en passant par l'usage de l'outil. La personne au principe du social : Les leçons de l'adolescence [texte imprimé] / Jean-Claude QUENTEL, Auteur . - [s.d.] . - 1 vol. (244 p.) ; 23 cm.
ISBN : 978-2-07-301300-2 : 21 EUR
Langues : Français
Catégories : Adolescent
Identité individuelle
Institution
SujetIndex. décimale : 155.5 Résumé : Le concept de Personne, tel qu'on l'entend ici, désigne la capacité qui permet à l'homme à la fois de se vivre comme une subjectivité singulière et de participer au social. L'argumentation prend ici appui sur l'expérience de l'adolescent, son fonctionnement étant en effet révélateur des processus que suppose la Personne. Ce qui se joue à cette période de la vie oblige à comprendre que, loin d'être acquise d'emblée, c'est à une époque relativement tardive de son existence, après les années de l'enfance au sens strict, que la Personne émerge en l'homme. Elle se spécifie dès lors clairement par rapport aux autres capacités dont celui-ci peut faire preuve dès la première enfance, à savoir le langage, mais également l'habileté technique et le désir. Processus général, donc anthropologique au plein sens de ce terme, la Personne suppose fondamentalement une abstraction, en l'occurrence une prise de distance radicale par rapport au mode de rapports immédiats dans lequel l'être humain se trouve naturellement pris. Cette abstraction se fait ici absence, à soi-même en même temps qu'à autrui. Pour autant, l'homme n'en demeure aucunement à ce moment d'abstraction qui n'est qu'implicite et il investit contradictoirement son être dans des situations sociales diverses. Le présent ouvrage trouve sa source dans les travaux du linguiste Jean Gagnepain, auquel on doit d'avoir éclairé, le premier, ce processus paradoxal ou "dialectique" constitutif de la Personne. Mais, au-delà de la Personne, c'est toute la dimension pratique de la rationalité humaine que cette perspective d'analyse invite à repenser, de l'emploi du signe au sens de la norme, en passant par l'usage de l'outil. Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 9206 L-QUEN Livres Le Fil d'Ariane Livre Disponible Sans queue ni tête / Georges Botet Pradeilles
Titre : Sans queue ni tête : un monde actuel en perte de sens ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Botet Pradeilles, Auteur ; Anne-Lise Diet, Préfacier, etc. ; Omar Aktouf ; Anne-Laure Galtier ; Jean-Claude Casalegno ; Valérie Weidmann Editeur : L'Harmattan Année de publication : DL 2016, cop. 2016 Collection : Nomino ergo sum Importance : 1 vol. (281 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-343-08351-3 Note générale : Chacun se voue aujourd'hui aux exhibitions publiques en tenant secrètes ses souffrances intimes. La pratique compulsive des rites individualistes de savoir et de réussite se confronte à terme à l'horreur nue d'être seulement soi. Dans cet ouvrage, il n'y a aucune thèse démonstrative. Il peut être lu dans le désordre, la seule nécessité qui a prévalue, c'est de se donner le langage suffisant pour partager ses impressions, ses ressentis et définir sa position.
Georges Botet-Pradeilles, docteur en psychologie (psychopathologie et psychanalyse) est directeur honoraire d'établissements médico-sociaux spécialisés. Il participe à des travaux de recherche et de réflexion dans le cadre d'associations réunissant psychanalystes et chercheurs en sciences de gestion. Il a publié plusieurs ouvrages : Fallait-il tuer Socrate et Pourquoi encore la psychanalyse, parus chez Dédicaces (Montréal), Apologie de la névrose (Avec Marcienne Martin) et Le temps est au jeu de dupes parus à L'Harmattan (Paris).Catégories : Doute
Identité individuelle
Individu
interdit
Psychanalyse
SensSans queue ni tête : un monde actuel en perte de sens ? [texte imprimé] / Georges Botet Pradeilles, Auteur ; Anne-Lise Diet, Préfacier, etc. ; Omar Aktouf ; Anne-Laure Galtier ; Jean-Claude Casalegno ; Valérie Weidmann . - [S.l.] : L'Harmattan, DL 2016, cop. 2016 . - 1 vol. (281 p.) : couv. ill. en coul. ; 24 cm. - (Nomino ergo sum) .
ISBN : 978-2-343-08351-3
Chacun se voue aujourd'hui aux exhibitions publiques en tenant secrètes ses souffrances intimes. La pratique compulsive des rites individualistes de savoir et de réussite se confronte à terme à l'horreur nue d'être seulement soi. Dans cet ouvrage, il n'y a aucune thèse démonstrative. Il peut être lu dans le désordre, la seule nécessité qui a prévalue, c'est de se donner le langage suffisant pour partager ses impressions, ses ressentis et définir sa position.
Georges Botet-Pradeilles, docteur en psychologie (psychopathologie et psychanalyse) est directeur honoraire d'établissements médico-sociaux spécialisés. Il participe à des travaux de recherche et de réflexion dans le cadre d'associations réunissant psychanalystes et chercheurs en sciences de gestion. Il a publié plusieurs ouvrages : Fallait-il tuer Socrate et Pourquoi encore la psychanalyse, parus chez Dédicaces (Montréal), Apologie de la névrose (Avec Marcienne Martin) et Le temps est au jeu de dupes parus à L'Harmattan (Paris).
Catégories : Doute
Identité individuelle
Individu
interdit
Psychanalyse
SensRéservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 8413 L-BOTE Livres Le Fil d'Ariane Livre Disponible