Titre : | Je ne lui ai pas dit au revoir. Des enfants de déportés parlent. Entretiens avec Claudine Vegh | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Claudine VEGH | Année de publication : | 1996 | Importance : | 210 p. | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-07-040085-0 | Langues : | Français | Catégories : | Entretien Génocide Nazisme Souvenir témoignage
| Mots-clés : | Nazisme Génocide Souvenir Entretien Témoignage | Résumé : | Si j'avais pu oublier totalement le passé, peut-être j'aurais pu vivre comme les autres, être heureux de ce que j'ai, et ne plus penser à ce que je n'ai plus. Je n'ai pas de photos de mes parents, je n'ai pas leur dernière lettre; je n'ai pas de tombe où me recueillir. Un seul document : Disparus...Auschwitz 1943". Ainsi s'exprime un de ceux qui ont accepté de s'entretenir avec Claudine Vegh. Tous sont des orphelins juifs dont les parents sont morts dans les camps. A cette époque, ils avaient entre cinq et treize ans. Ils ont encore l'impression de vivre "par accident". Comme l'exprime Bruno Bettelheim dans la postface : pour ces enfants, le deuil s'est avéré impossible. Et des années après, au cours de leur entretien, c'est toujours la même plainte : "Je ne lui ai pas dit au revoir". |
Je ne lui ai pas dit au revoir. Des enfants de déportés parlent. Entretiens avec Claudine Vegh [texte imprimé] / Claudine VEGH . - 1996 . - 210 p. ISBN : 978-2-07-040085-0 Langues : Français Catégories : | Entretien Génocide Nazisme Souvenir témoignage
| Mots-clés : | Nazisme Génocide Souvenir Entretien Témoignage | Résumé : | Si j'avais pu oublier totalement le passé, peut-être j'aurais pu vivre comme les autres, être heureux de ce que j'ai, et ne plus penser à ce que je n'ai plus. Je n'ai pas de photos de mes parents, je n'ai pas leur dernière lettre; je n'ai pas de tombe où me recueillir. Un seul document : Disparus...Auschwitz 1943". Ainsi s'exprime un de ceux qui ont accepté de s'entretenir avec Claudine Vegh. Tous sont des orphelins juifs dont les parents sont morts dans les camps. A cette époque, ils avaient entre cinq et treize ans. Ils ont encore l'impression de vivre "par accident". Comme l'exprime Bruno Bettelheim dans la postface : pour ces enfants, le deuil s'est avéré impossible. Et des années après, au cours de leur entretien, c'est toujours la même plainte : "Je ne lui ai pas dit au revoir". |
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