Titre : | Promenades avec Robert Walse | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Carl SEELIG ; Bernard KREISS | Importance : | 173 | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-86930-539-7 | Langues : | Français | Catégories : | Cas Écriture Écrivain témoignage
| Mots-clés : | Cas Témoignage Écriture Écrivain | Résumé : | La promenade, passage de l'écriture à la vie délestée d'écriture, dénudée jusqu'à n'être qu'une épure d'existence, un lent déroulement, une marche sans but, fut on le sait le thème de prédilection de Robert Walser. Notés par Carl Seelig, les propos réunis ici ne se soucient ni d'expliquer ni de justifier une oeuvre. Bien au contraire, ils révèlent, au long des ans et d'une amitié compréhensive, une parole libre et dégagée de toute obligation. En 1929, Walser entre dans la clinique psychiatrique de la Waldau, à Berne, où il poursuit son travail de "feuilletoniste". Il cessera d'écrire en 1933, après avoir été transféré contre son gré dans la clinique psychiatrique d'Herisau dans le demi-canton des Appenzell Rhodes-Extérieures où il séjournera jusqu'au jour de Noël 1956 où, quittant la clinique pour une promenade dans la neige, il marchera jusqu'à l'épuisement et à la mort. Son ami Carl Seelig a rendu compte des conversations menées avec l'écrivain pendant ces années de silence dans ses Promenades avec Robert Walser. |
Promenades avec Robert Walse [texte imprimé] / Carl SEELIG ; Bernard KREISS . - [s.d.] . - 173. ISBN : 978-2-86930-539-7 Langues : Français Catégories : | Cas Écriture Écrivain témoignage
| Mots-clés : | Cas Témoignage Écriture Écrivain | Résumé : | La promenade, passage de l'écriture à la vie délestée d'écriture, dénudée jusqu'à n'être qu'une épure d'existence, un lent déroulement, une marche sans but, fut on le sait le thème de prédilection de Robert Walser. Notés par Carl Seelig, les propos réunis ici ne se soucient ni d'expliquer ni de justifier une oeuvre. Bien au contraire, ils révèlent, au long des ans et d'une amitié compréhensive, une parole libre et dégagée de toute obligation. En 1929, Walser entre dans la clinique psychiatrique de la Waldau, à Berne, où il poursuit son travail de "feuilletoniste". Il cessera d'écrire en 1933, après avoir été transféré contre son gré dans la clinique psychiatrique d'Herisau dans le demi-canton des Appenzell Rhodes-Extérieures où il séjournera jusqu'au jour de Noël 1956 où, quittant la clinique pour une promenade dans la neige, il marchera jusqu'à l'épuisement et à la mort. Son ami Carl Seelig a rendu compte des conversations menées avec l'écrivain pendant ces années de silence dans ses Promenades avec Robert Walser. |
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