Le Fil d’Ariane
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Auteur Desmond MORRIS
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Le singe nu / Desmond MORRIS
Titre : Le singe nu Type de document : texte imprimé Auteurs : Desmond MORRIS Année de publication : 1968 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-253-00305-2 Langues : Français Catégories : Ethologie Mots-clés : Ethologie Résumé : Le Singe nu (The Naked Ape, 1967) est un ouvrage de Desmond Morris qui décrit l'espèce humaine à travers un regard d'éthologue, c'est-à-dire avec le même regard que celui que l'on porte généralement sur les autres animaux. La principale thèse du livre est que la peau est l'organe qui distingue le plus l'homme des autres primates. Chez l'homme, la relative absence de pilosité serait liée à un besoin de contact physique entre la mère et son petit, puis à l'âge adulte entre les membres d'une horde, afin de consolider les relations sociales. Les particularités de la sexualité humaine seraient elles aussi fortement liées à cette absence de pilosité. Ouvrage de référence, ce livre a eu une influence considérable, a ouvert de nouvelles portes, notamment celle de l'éthologie humaine, et a apporté un regard complètement nouveau sur l'Homme Le singe nu [texte imprimé] / Desmond MORRIS . - 1968.
ISBN : 978-2-253-00305-2
Langues : Français
Catégories : Ethologie Mots-clés : Ethologie Résumé : Le Singe nu (The Naked Ape, 1967) est un ouvrage de Desmond Morris qui décrit l'espèce humaine à travers un regard d'éthologue, c'est-à-dire avec le même regard que celui que l'on porte généralement sur les autres animaux. La principale thèse du livre est que la peau est l'organe qui distingue le plus l'homme des autres primates. Chez l'homme, la relative absence de pilosité serait liée à un besoin de contact physique entre la mère et son petit, puis à l'âge adulte entre les membres d'une horde, afin de consolider les relations sociales. Les particularités de la sexualité humaine seraient elles aussi fortement liées à cette absence de pilosité. Ouvrage de référence, ce livre a eu une influence considérable, a ouvert de nouvelles portes, notamment celle de l'éthologie humaine, et a apporté un regard complètement nouveau sur l'Homme Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 6763 L-MORR Livres Le Fil d'Ariane Livre Sorti jusqu'au 30/06/2018 Le zoo humain / Desmond MORRIS
Titre : Le zoo humain Type de document : texte imprimé Auteurs : Desmond MORRIS Année de publication : 1970 Importance : 296 Langues : Français Catégories : Caractère
Ethologie
Humanité
Sexualité
SociologieMots-clés : Ethologie Sexualité Humanité Sociologie Caractère Résumé : Le zoo humain, Desmond Morris, 1969 Les conditions actuelles de l?humanité sont elles que notre vie sur terre ressemble fortement à celle des animaux qui sont dans nos zoos. A partir de ce constat l?auteur cherche les caractéristiques de ce zoo humain et définit les enjeux que doit assurer l?humanité pour sa survie. L?Homme en tant qu'animal social organise sa survie individuelle, celle de sa famille et celle de sa tribu. L?humanité c'est plus de sept milliard d'habitants qui sont pour la majorité concentrés dans les villes. De nombreuses conditions ont amené à cette caractéristique spécifique. La spécialisation a en particulier libéré l'Homme des taches qui été essentielles à sa survie. Son extrême mobilité a permit de créer une seule espèce car sans contact entre les différentes tribus celles-ci auraient peu à peu évolué vers des caractéristiques spécifiques à son environnement. L?humanité est avide d?explorations et de stimulations. Ainsi au cours des siècles l'Homme a évolué vers des conditions de vies de plus en plus exceptionnelles. Son organisation sociale basée sur des processus d?intégrations et d'exclusions lui a permit de maintenir un équilibre fragile entre le chaos et l'harmonie. Selon l'auteur qui définit les tribus comme des supertribus, l?humanité ne peut devenir une superhumanité - c'est à dire entièrement unie ? car les forces de cohésion sont trop faibles à moins qu'un danger imminent la menace dans sa totalité. Les conditions de vies dans le zoo humain sont elles que l'individu subit de fortes pressions. La lutte pour le statut entraîne des frustrations qui entraînent une redirection de l?agressivité. Pareillement le sexe qui occupe une place essentiel dans les conditions biologiques de la vie c'est développé de telle manière que nos faiblesses et nos forces d'origines animales se sont accentuées. Les mécanismes d'exclusions et d'inclusions sont aujourd'hui déformés car ils n?appartiennent plus à nos schémas biologiques conventionnels. Ainsi il serait plus judicieux d?organiser la compétition intergroupe à travers plus de tolérance à condition de reconnaître que ce mécanisme permet une certaine auto-limitation de l?espèce qu'il nous faut des lors prendre en main. L'auteur explique les processus d'impressions et de mes-impressions qui régissent notre développement. Il démontre que ceci sont responsables de l'accentuation des relations anormales d'ordres biologiques. Face à cette évolution l?humanité doit préférer la compassion. Dans cette grande frénésie dirigé par notre besoin de stimulation. L?Homme se retrouve parfois soumis à des stimulations trop importantes ou paradoxalement s'isole de toutes stimulations. L'innovation dans la course aux stimulis devient nécessité. Pour l'auteur la créativité est l'extension des qualités de l?enfance. « L'enfant pose de nouvelles questions ; l'adulte répond aux anciennes ; l'adulte enfant trouve des réponses aux nouvelles questions. L?enfant est inventif ; l'adulte est productif ; l'adulte enfant est inventivement productif. L?enfant explore son environnement ; l'adulte l'organise ; l'adulte enfant organise ses explorations et, en les ordonnant, les renforce. Il crée. » p276. Le retour à des sociétés primitives basées sur une vie simple sont, selon l'auteur, impossibles. Ces expériences répondent toujours au besoin de frénésie du zoo humain que l'on peut comparer à l'excitation des projets de boy scouts. Pour ma part j'envisagerai plutôt de vivre selon un esprit simple. Comme ne manque pas de signaler l'auteur si les structures poussent l'esprit inventif celles-ci ne tarderons pas à remettre en question les codes culturelles qui assurent sa stabilité. Ainsi la créativité est un atout essentiel à la survie de notre espèce mais les conditions du zoo humain sont elles que l'innovation privilégie trop souvent la quantité plutôt que la qualité. A l'image des urbanistes modernes, jusqu'aux débuts des années 1970, l?homogénéité efficace a pris le pas sur l?efficacité stimulante. Dans sa conclusion Desmond Morris souligne l?importance de prendre en compte nos caractère biologiques dans la compréhension et l'exploration des complexes urbains. Ils souhaite que le citoyen y trouve le sentiment de la « communauté villageoise » en se projetant à l?intérieur de « l'environnement » p 299 Résumé de "Le singe nu" Desmond Morris Le Singe nu Non, déclare le zoologiste Desmond Morris, nous ne sommes pas une espèce nouvelle née du processus de l'évolution, nous sommes toujours des singes. Et il le démontre. Eliminant les sociétés primitives encore existantes comme étant des « ratés de l'évolution », il observe le singe nu moderne, arboricole, sorti des forêts et devenu carnivore, sous l'angle de la sexualité, de l'éducation, de la combativité et de la recherche du confort (où il assimile hardiment la quête des poux chez les primates ... Lire la suite aux menus propos mondains dans un effet scientifico-comique irrésistible). Pour élaborer cette thèse originale, il lui a suffi d'étudier le comportement humain dans la même optique que celui des animaux, et en utilisant le même vocabulaire. Le résultat est extraordinaire de précision scientifique, de logique... et d'humour. Quand on se regarde dans une glace, après avoir lu ce livre, on ne se voit plus de la même façon. Arthur Koestler Le zoo humain [texte imprimé] / Desmond MORRIS . - 1970 . - 296.
Langues : Français
Catégories : Caractère
Ethologie
Humanité
Sexualité
SociologieMots-clés : Ethologie Sexualité Humanité Sociologie Caractère Résumé : Le zoo humain, Desmond Morris, 1969 Les conditions actuelles de l?humanité sont elles que notre vie sur terre ressemble fortement à celle des animaux qui sont dans nos zoos. A partir de ce constat l?auteur cherche les caractéristiques de ce zoo humain et définit les enjeux que doit assurer l?humanité pour sa survie. L?Homme en tant qu'animal social organise sa survie individuelle, celle de sa famille et celle de sa tribu. L?humanité c'est plus de sept milliard d'habitants qui sont pour la majorité concentrés dans les villes. De nombreuses conditions ont amené à cette caractéristique spécifique. La spécialisation a en particulier libéré l'Homme des taches qui été essentielles à sa survie. Son extrême mobilité a permit de créer une seule espèce car sans contact entre les différentes tribus celles-ci auraient peu à peu évolué vers des caractéristiques spécifiques à son environnement. L?humanité est avide d?explorations et de stimulations. Ainsi au cours des siècles l'Homme a évolué vers des conditions de vies de plus en plus exceptionnelles. Son organisation sociale basée sur des processus d?intégrations et d'exclusions lui a permit de maintenir un équilibre fragile entre le chaos et l'harmonie. Selon l'auteur qui définit les tribus comme des supertribus, l?humanité ne peut devenir une superhumanité - c'est à dire entièrement unie ? car les forces de cohésion sont trop faibles à moins qu'un danger imminent la menace dans sa totalité. Les conditions de vies dans le zoo humain sont elles que l'individu subit de fortes pressions. La lutte pour le statut entraîne des frustrations qui entraînent une redirection de l?agressivité. Pareillement le sexe qui occupe une place essentiel dans les conditions biologiques de la vie c'est développé de telle manière que nos faiblesses et nos forces d'origines animales se sont accentuées. Les mécanismes d'exclusions et d'inclusions sont aujourd'hui déformés car ils n?appartiennent plus à nos schémas biologiques conventionnels. Ainsi il serait plus judicieux d?organiser la compétition intergroupe à travers plus de tolérance à condition de reconnaître que ce mécanisme permet une certaine auto-limitation de l?espèce qu'il nous faut des lors prendre en main. L'auteur explique les processus d'impressions et de mes-impressions qui régissent notre développement. Il démontre que ceci sont responsables de l'accentuation des relations anormales d'ordres biologiques. Face à cette évolution l?humanité doit préférer la compassion. Dans cette grande frénésie dirigé par notre besoin de stimulation. L?Homme se retrouve parfois soumis à des stimulations trop importantes ou paradoxalement s'isole de toutes stimulations. L'innovation dans la course aux stimulis devient nécessité. Pour l'auteur la créativité est l'extension des qualités de l?enfance. « L'enfant pose de nouvelles questions ; l'adulte répond aux anciennes ; l'adulte enfant trouve des réponses aux nouvelles questions. L?enfant est inventif ; l'adulte est productif ; l'adulte enfant est inventivement productif. L?enfant explore son environnement ; l'adulte l'organise ; l'adulte enfant organise ses explorations et, en les ordonnant, les renforce. Il crée. » p276. Le retour à des sociétés primitives basées sur une vie simple sont, selon l'auteur, impossibles. Ces expériences répondent toujours au besoin de frénésie du zoo humain que l'on peut comparer à l'excitation des projets de boy scouts. Pour ma part j'envisagerai plutôt de vivre selon un esprit simple. Comme ne manque pas de signaler l'auteur si les structures poussent l'esprit inventif celles-ci ne tarderons pas à remettre en question les codes culturelles qui assurent sa stabilité. Ainsi la créativité est un atout essentiel à la survie de notre espèce mais les conditions du zoo humain sont elles que l'innovation privilégie trop souvent la quantité plutôt que la qualité. A l'image des urbanistes modernes, jusqu'aux débuts des années 1970, l?homogénéité efficace a pris le pas sur l?efficacité stimulante. Dans sa conclusion Desmond Morris souligne l?importance de prendre en compte nos caractère biologiques dans la compréhension et l'exploration des complexes urbains. Ils souhaite que le citoyen y trouve le sentiment de la « communauté villageoise » en se projetant à l?intérieur de « l'environnement » p 299 Résumé de "Le singe nu" Desmond Morris Le Singe nu Non, déclare le zoologiste Desmond Morris, nous ne sommes pas une espèce nouvelle née du processus de l'évolution, nous sommes toujours des singes. Et il le démontre. Eliminant les sociétés primitives encore existantes comme étant des « ratés de l'évolution », il observe le singe nu moderne, arboricole, sorti des forêts et devenu carnivore, sous l'angle de la sexualité, de l'éducation, de la combativité et de la recherche du confort (où il assimile hardiment la quête des poux chez les primates ... Lire la suite aux menus propos mondains dans un effet scientifico-comique irrésistible). Pour élaborer cette thèse originale, il lui a suffi d'étudier le comportement humain dans la même optique que celui des animaux, et en utilisant le même vocabulaire. Le résultat est extraordinaire de précision scientifique, de logique... et d'humour. Quand on se regarde dans une glace, après avoir lu ce livre, on ne se voit plus de la même façon. Arthur Koestler Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 6769 L-MORR Livres Le Fil d'Ariane Livre Disponible